Je ne sais plus qui a proposé, puisqu’ils feront partie de la même norme, de prendre la même décision, pour l’accessibilité des apostrophes courbe et droite, pour l’azerty et le bépo, mais ce me semble la meilleure des solutions :
- soit les deux dispositions privilégient l’apostrophe courbe en direct, auquel cas le passage au bépo ne bloquera pas sur ce point, au risque que les plaintes se reportent sur la norme, mais l’argumentaire défendant ce choix sera constitutif de la norme même, pas d’une seule de ses dispositions ;
- soit les deux dispositions privilégient l’apostrophe droite, peut-être au désarroi de certains, mais avec à tout le moins deux dispos adaptés aux ordinateurs et pas seulement aux férus de typographie (intérieurement je bouillonne quand je lis que l’argument de la recherche de texte est nul parce que les « gros » navigateurs n’y sont plus confrontés : on parle ici de systèmes d’exploitation où chacun est libre d’installer les applications qu’il veut, pas de téléphones au
firmware fermé avec une option internet, et il est absolument certain que c’est pas en tablant sur les 90% de part de marché qui certes ne posent plus problème qu’on peut balayer d’un revers de la main les 10% propres à chaque utilisateur et dont il est extrêmement difficile de prévoir la teneur — après c’est sûr on peut rejeter la faute sur des applications, parfois anciennes et donc pas même contemporaines de la démocratisation de l’UTF8 et de la possibilité d’une meilleure typographie, et se moquer royalement de l’expérience d’utilisateurs qui font autre chose que du Facebook sur leur ordinateur…)
Dans les deux cas, l’argument massue « c’est dans la norme » permet a priori d’éviter tout rejet du bépo sur ce point.
, un choix différent pour les deux dispos serait forcément un point clivant pour le bépo, raison pour laquelle je défendrais sans réserve l’apostrophe typographique en accès direct à la seule et unique condition qu’elle le soit aussi sur l’azerty.