De façon générale, dans toute activité, celui qui fait ou dirige oriente le travail dans le sens qu'il veut. Ce n'est pas réservé au seul monde du logiciel libre.
Je suis d'accord avec Philippe : peu importe qu'il y ait une « forte demande » ou pas; ce n'est pas la question. On ne fait pas forcément quelque chose pour répondre à une demande; on le fait aussi parce qu'on pense que c'est bien. Je ne pense pas que le bépo ait été inventé parce les gens le demandaient; il a été inventé parce qu'une poignée de personnes avaient la conviction qu'il fallait le faire.
Je suis par conséquent également d'accord avec Flamme. Il me semble que c'est à ceux qui définissent effectivement la disposition bépo (d'après ce que je comprends, Valentin, Nicolas & cie [désolé pour ceux que j'oublie]) d'estimer si c'est important ou pas. Il est tout à fait normal que les personnes les plus actives fassent le travail à leur idée, et demandent confirmation à tout le monde s'ils ont un doute.
Et pour finir, je comprends tout à fait l'opinion de Marcel, qui tente de convaincre les personnes actives que les indicateurs ordinaux français sont nécessaires.
Bref, je suis d'accord avec tout le monde :-)
Thomas
Envoyé: vendredi 27 janvier 2017 à 13:13
De: Flamme <ml@xxxxxxxxxxxxxxx>
À: discussions@xxxxxxxxxxx
Objet: Re: [EGD-discu] Indicateurs ordinaux français
[…]
Il est peut-être temps de rappeler que dans le LL, ce sont qui font qui
se donnent raison et que ceux qui ne font rien, ne disent rien, et se
contentent de voir et d’utiliser devraient se bouger un peu s’ils
veulent que ça avance dans leur sens. Et ils verraient que ce n’est pas
facile. On fait ce qu’on peut, on essaie de faire de notre mieux. Mais
les 99% qui s’en foutent, pourquoi s’en soucier?