Re: [EGD-discu] Guillemets de citation de second niveau - Ponctuations par touches mortes

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Je te laisse cette définition bien restrictive à mon sens (très restrictive en fait).
De fait _il y a_ les règle. Qui varient (comme pour tout art) d'une pays à l'autre. Et des variations fonctions du temps, des techniques d'imprimerie, du goût et de la culture du typographe, comme en tout art. Et des expérimentateurs (calligramme, « la maison les feuilles », etc.) comme en tout art. Je continue ? Non, tu as raison, ne trollons pas.
Une chose est certaine : il n'y a pas une règle stricte et ça ne nous simplifie pas le clavier !

NémOlivier.


Le dim. 14 févr. 2016 00:25, Jérôme Schwartz <elivagar@xxxxxxxxx> a écrit :
Euh, Nope.
C’est un outil d’aide à la lecture, quelque chose qui a pour but de donner des nuances de ton, amplifier ou atténuer une idée, c’est à dire compenser les modulations de l’oral.
[mode mauvaise foi On] Avec la mondialisation c’est la typographie qui aurait dû se voir normaliser internationallement et ainsi nous donner des règles qui ne changent pas d’un pâté de maison à un autre, en fonction de l’imprimeur que l’on embauche. [Mode mauvaise foi Off]
De plus dans l’art, il y a des règles et des techniques, ici c’est au bon vouloir du typographe, de l’amateurisme au mieux et qui arrive à accaparer des ressources inutilement.
Je vais arrêter de troller ces conversations, mon avis sur le sujet n’apportera rien, mais je continuerai à lire car, malgré tout certains consensus — que j’ai découvert grâce à vos conversations — dans la typographie sont intéressants.

Jérôme

Le 14 février 2016 à 00:07, Olivier Guéry <nemolivier@xxxxxxxxx> a écrit :


Le sam. 13 févr. 2016 à 23:56, Jérôme Schwartz <elivagar@xxxxxxxxx> a écrit :
La réponse des typographes à ce sujet est : refaite votre phrase pour que cela n’arrive pas, pourquoi faire chier les imprimeurs et typographe quand on peut d’en prendre à l’auteur.
C’est sympa la typographie, désué, sans véritable normalisation et en fonction de l’humeur du moment.

« Sympas, désuet, sans normalisation, fonction de l’humeur du moment ». Serait-ce là une proposition de définition de l’art ? Car oui, que ça plaise ou non, la typo, en tant qu’objet a potentiel esthétique (en plus de pratique), relève de l’art. C’est ainsi.
 
Tout ce que j’aime…

Tant pis pour toi.

NémOlivier.



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