Re: [EGD-discu] Epistory - Typing Chronicles

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Le 15/05/2016 à 23:01, Marcel Schneider a écrit :
> Dimanche 15 Mai 2016 19:48:04, Mélanie (ariasuni) a écrit :
> 
>> Le 15/05/2016 à 08:07, Marcel Schneider a écrit :
>>> Jeudi 31 Mars 2016 07:49:21, A2 a écrit :
>>> 
>>>> Je découvre un petit jeu vidéo de dactylo disponible sous Steam
>>>>  http://store.steampowered.com/app/398850/ et dont les features
>>>>  indiquent qu'on peut jouer en français et en bépo ! Et les
>>>> reviews sont très positives. Que demande le peuple.
>>> 
>>> C’est effectivement un jeu particulier. Hier j’ai regardé la
>>> vidéo et lu des récensions. Mieux vaut tard que jamais. C’est une
>>> manière d’apprendre la frappe au toucher. On peut jouer en bépo,
>>> cela veut dire que la dissociation entre les virtual keys et les
>>> caractères n’a aucun impact.
>>> 
>>> Désolé de répondre si tard. J’ai horreur des jeux vidéo, j’allais
>>>  même dire que je les déteste du fond du cœur, et Épistory malgré
>>> son design ne fait malheureusement pas vraiment exception dans
>>> mon ressenti. Certaines scènes me dégoûtent malgré tout, et je
>>> trouve détestable le fait de dévaloriser les insectes dans leur
>>> ensemble comme étant des êtres foncièrement malfaisants. Il est
>>> des insectes gentils, pas uniquement des papillons par leur
>>> beauté, les abeilles par leur art de la communication mais aussi
>>> des moucherons par leurs attitudes et leur empathie peuvent avoir
>>> une personnalité très attachante. Un exemple :
>>> 
>>> http://hnvnc.space-blogs.com/blog-note2/92001/les-petits-animaux-aussi-ont-une-personnalite.html
>>
>>
>> Toi qui d’habitude est si rigoureux, me semble aller un peu vite en
>> affirmant ça! Cette histoire ne prouve rien du tout, si ce n’est
>> que l’auteur a beaucoup d’imagination. Faire une telle induction à
>> partir d’un seul cas me semble bien présomptueux, et ne mérite même
>> pas le terme de pseudo-science.
>> 
>> Bon j’ai fait quelques recherches et effectivement ils semblerait
>> que des insectes puissent ressentir des émotions et de l’empathie 
>> (‹http://brainblogger.com/2015/06/26/do-insects-have-emotions-and-empathy/›;).
>>
>> Mais ce que je voulais dire, c’est que les insectes ne sont ni gentils,
>> ni méchants, ils essaient juste de survivre et de se reproduire.
> 
> Je suis d’accord. Pour reprendre l’exemple du moucheron, il a cherché
> moyen de survivre en communiquant son besoin urgent d’eau, car la
> mélasse de par sa forte concentration (minéraux et tout le reste mais
> peu d’eau) aurait pu lui devenir fatale. Mais il y a l’après. Une
> fois rassasié, au lieu de se casser pour se mettre en sécurité il est
> venu s’asseoir sur quelque chose qui aurait fait peur à ses 
> congénères. Je ne prends pas ça pour une expérience scientifique,
> contrairement à l’arcicle que tu cites. Il est super bien. Merci ! Ça
> me manquait encore, car pour les plantes on a déjà les travaux du
> professeur Mancuso et l’institut qu’il a fondé : Stefano Mancuso: The
> roots of plant intelligence - YouTube. Consulté 20 juillet 2015, à
> l’adresse https://www.youtube.com/watch?v=AIfwFLDXFyQ

Oh c’est super intéressant ça, j’avais quelques idées préconçues sur les
plantes (ce qui me reste du lycée).


>> Et puis je ne pense pas vraiment que ça soit un problème dans le
>> sens où les représentations dans les médias font aussi beaucoup
>> état de «gentils insectes» et expliquent leur utilité (ce qui
>> n’empêche pas d’ignorer les effets désastreux de l’abus d’engrais
>> pour obéir au productivisme).
> 
> C’était juste par rapport aux cas, comme Epystory, où les insectes
> sont bons pour incarner le mal. Mais tout ce que j’en sais en
> l’occurrence vient d’avoir lu le concept de « corruption
> insectoïde », et de la vidéo.
> 
>> 
>> Je suis en revanche beaucoup plus inquiète de ce qui participe à
>> la perpétuation de stéréotypes dangereux (culture du viol,
>> racisme, «LGBTphobies», etc.).
> 
> D’accord encore une fois. Quand les humains font ou défendent le mal
>  ils en récoltent les fruits, au mieux en allant en prison, mais les
> animaux n’y peuvent rien. Et vu que nous sommes en train de détruire
> la planète, nous n’avons plus le droit de s’en prendre aux animaux,
> ni aux plantes.

En vérité on ne tue pas la planète, on se tue nous-mêmes. On est juste
en train de rendre la planète inhabitable pour nous-mêmes (et pour un
certain nombre d’espèces animales et végétales, mais c’est déjà arrivé
plusieurs fois au cours des siècles): si on meurt à cause du changement
climatique, la Terre continuera à exister, de nouvelles espèces
apparaitront (faut juste laisser du temps à l’écosystème, quelques
milliers d’années au moins).


>>> Je note que le scénario et sa réalisation réutilisent un certain
>>>  nombre de thèmes porteurs comme la fantasy, la magie (cercle 
>>> magique), les procédés courants de destruction, l’origami, le
>>> renard rouge (Firefox ?)… Mais l’arsenal reste assez sobre et
>>> évite certains excès. Et puis surtout, utiliser cet environnement
>>> pour pousser les joueurs à développer une compétence réellement
>>> utile – la dactylo – je trouve ça une très bonne idée.
>>> 
>>> Quoique si j’avais des enfants j’éviterais de leur offrir des
>>> jeux vidéo, que ce soit Épistory ou d’autres, plutôt que des jeux
>>> plus créatifs. Les scientifiques savent et disent que les enfants
>>> doivent éviter les écrans. Donc tout ce qui contribue à rendre
>>> les écrans attachants fait œuvre de destruction. Du papier pour
>>> faire de l’origami en vrai est plus constructeur – aussi bien
>>> pour les facultés motrices que pour le psychisme – que le plus
>>> beau jeu vidéo…
>> 
>> C’est très réducteur.
>> 
>> D’une part, le jeu vidéo est à limiter pour les enfants les plus
>> jeunes, ça ne veut pas dire que c’est moins bien que des jeux
>> traditionnels (dont certains sont très limités ou avec trop de
>> hasard).
>> 
>> De plus, les jeux vidéo peuvent eux aussi permettre de créer, et
>> parfois de créer d’une manière nouvelle. On pourrait dans cette
>> catégorie citer le désormais célèbre Minecraft.
> 
> J’y avais pensé à la création dans les jeux vidéo, mais je me suis
> dit que ça restera forcément dans le cadre tracé par les
> développeurs. Donc en fait la créativité dans les jeux vidéo revient
> à du paramétrage. En multipliant les paramètres on arrive à un point
> où telle combinaison n’aura jamais existé avant. Mais ce n’est pas la
> même chose que de créer en vrai (et hors impression 3D). Bon après je
> ne connais Minecraft que de nom. Si c’est bon pour les enfants, tant
> mieux.

Attention je ne dis pas que c’est mieux, je dis juste que c’est
différent et que l’un n’est pas meilleur que l’autre (je t’assure que je
connais des amateurs/rices à la fois de jeu vidéo et de jeux de rôle et
de LEGO etc.).


>> Le jeu vidéo est un média qui offre de nombreuses possibilités
>> pour raconter des histoires, exercer ses réflexes et sa
>> concentration, réfléchir à une énigme ou être récompensé pour sa
>> tenacité.
>> 
>> Si nombres de jeux vidéos tombent dans les mêmes travers que
>> d’autres productions culturelles, et que c’est un bon réflexe
>> d’être critique par rapport à nos divertissements, il y a aussi de
>> très bonnes œuvres.
>> 
>> Bref, je crois que ce rejet du jeu vidéo s’inscrit dans une pensée 
>> propagée par celles et ceux qui s’y connaissent peu dans le domaine
>> et les empêche de comprendre les intérêts du média.
> 
> Dans XXX (Triple X), sorti en salles il y a une vingtaine d’années,
> le héros tient un speech dans la caméra en défense des jeux vidéo
> contre leurs détracteurs. Mais comme j’ai tout de suite suspecté le
> producteur d’avoir été sponsorisé par l’industrie du secteur pour
> faire intégrer ce clip (en route vers le stunt du viaduc), je n’ai
> pas pris l’argumentaire au sérieux (ça développe l’intelligence et 
> des choses comme ça).

Wikipédia en français et en anglais en parle un peu:

<https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeu_vid%C3%A9o#Effets_physiologiques_et_psychologiques>
<https://en.wikipedia.org/wiki/Video_game#Behavioral_effects>

Évidemment ça dépend des jeux, ça n’est pas plus miraculeux que
l’intelligence développée en manipulant des objets physiques, etc.


> Peut-être les jeux vidéo que tu mentionnes peuvent pallier le manque
> de parents ou de frères et sœurs mais bien que ne m’y connaissant
> pas, j’ai la prétention de savoir que faire ces activités en jeu
> vidéo a moins de valeur que de jouer avec des jouets réels, de créer
> avec des matières prélevées dans la nature (branches mortes, pommes
> de pin, cailloux, …) et/ou dans les activités humaines (chutes
> textiles, laine à tricoter, …), lire ou regarder des livres, dessiner
> ou peindre sur du papier, du carton (on peut aussi créer des modèles
> avec des boîtes vides de céréales retournées et découpées), …

Évidemment le jeu vidéo forme un cadre qui peut être restrictif (mais
c’est le principe de beaucoup de jeux de fixer un cadre avec des règles
etc.). Et il y a des choses qu’on ne peut pas faire ou difficilement en
dehors d’un jeu vidéo (tout ce qui prendrait trop de place/couterait
trop cher sinon par exemple).

Je pense, pour Minecraft, aux mécanismes de type interactif comme les
lumières, de l’eau qui coule, des interrupteurs activant des systèmes de
portes logiques, etc.).

Dans un vieux jeu auquel j’ai joué, Impossible Creatures, un jeu de
stratégie en temps réel, il était question de combiner deux animaux en
conservant telles ou telles parties de son corps pour obtenir des
caractéristiques intéressantes (coup à produire, vitesse, attaque,
points de vie, capacités spéciales, etc).

Pokémon, avec ses centaines de créatures dotées chacune d’un ou deux
type-s, d’attaques apprises à des niveaux différents, d’évolutions
atteintes à un certain niveau ou via un objet spécifique ou via une
autre technique, les mécaniques de reproduction entre Pokémons, est un
jeu d’une richesse impressionnante.

Et je n’ai même pas encore parlé du jeu en ligne qui permet la
coopération et/ou la concurrence, des choix qui affectent l’histoire,
etc. Les possibilités sont très très variées.

Après tu as le droit de ne pas t’y intéresser, je joue moi-même assez
peu, mais: y a de tas de bonnes choses dans le jeu vidéo, et je trouve
ça dommage de propager de fausses informations dessus (même si de toute
façon ça n’empêche pas les jeux vidéo d’être très populaires).


> Peut-être est-ce parce que les jeux vidéo ne font pas partie de mon
> univers, mais il m’a suffi de lire des récensions et de voir des
> instants sur d’autres écrans pour me faire mon opinion. Pour une fois
> je prends le temps de m’étaler sur le sujet car je sens que ça peut
> valoir la peine. C’est aussi un peu comme avec les films, on dit
> qu’il ne faut pas y aller avec trop d’attentes histoire d’éviter la
> déception. Pour le coup quand hier soir j’ai pris le temps d’aller
> sur la page d’Epystory j’avais une grosse attente. La vidéo me laissa
> plutôt perplexe. Plusieurs récensions sont très intéressantes en
> elles-mêmes.

Je ne connais pas Epystory, je ne suis même pas allé voir la page Steam. ^^


>>> L’annonce d’A2 « qu'on peut jouer en français et en bépo » m’a
>>> amené à réaliser – bien que j’en aie été au courant, mais cela me
>>> semblait tellement ubuesque – que si le bépo fonctionne en vrai,
>>> tous les jours au travail, à moins d’installer des pédales (pour
>>> le copier et le coller), c’est qu’il joue sur la dissociation des
>>> virtual keys et des caractères, en gardant les premières pour les
>>> raccourcis clavier tout en agençant les seconds en fonction de
>>> l’ergonomie. Normalement comme on sait les claviers latins font
>>> correspondre les virtual keys avec les caractères, mais ils sont
>>> pratiquement les seuls à le faire. Déjà les claviers grecs
>>> (exemple grec polytonique sous Windows) ont les virtual keys US
>>> qwerty pur, aucun scan code n’est redéfini.
>>> 
>>> Donc en fait, d’après ce que j’ai compris, pour travailler IL
>>> FAUT prendre le bépo avec les VK EN AZERTY, utiliser un clavier
>>> physique AZERTY, NE PAS apposer d’autocollants sur les touches à
>>> moins d’en trouver avec le double marquage, apprendre la
>>> correspondance azerty–bépo et taper au toucher à dix doigts sans
>>> regarder le clavier – JOUER À ÉPISTORY pour s’entraîner – et
>>> faire les raccourcis clavier selon ce qui est marqué sur les
>>> touches en vérifiant au visuel si besoin est, parce que faire un
>>> mauvais raccourci clavier est en général bien pire qu’une faute
>>> de frappe qui se corrige aisément (la touche retour arrière
>>> n’est–elle pas la plus utilisée ?).
>>> 
>>> Ce qu’il reste à faire : dispenser les claviers latins normalisés
>>> de pratiquer la correspondance entre les noms de touches
>>> virtuelles et les caractères entrés par les touches. Peut-être
>>> est-ce aussi sur cela que l’Afnor travaille en ce moment avec les
>>> représentants d’Ergodis. J’imagine que les experts d’Aalto
>>> considèrent l’ergonomie de l’interface utilisateur dans son
>>> ensemble et ont par conséquent un œil sur les raccourcis clavier,
>>> et que l’Afnor ne peut ou ne veut pas normaliser de clavier latin
>>> dont les VK discordent avec les caractères. Par conséquent ils
>>> sont en train de chercher la disposition qui réunisse tous les
>>> atouts.
>> 
>> Je crois que tu parles de «clavier» pour parler de «disposition» et
>> ça rend la lecture très confuse.
> 
> Oui il m’arrive de ne pas préciser. Je reprends : | comme on sait les
> DISPOSITIONS latinEs font correspondre les virtual keys | avec les
> caractères, mais ils sont pratiquement les seuls à le | faire. Déjà
> les DISPOSITIONS grecQUEs (exemple grec polytonique sous | Windows)
> ont les virtual keys US qwerty pur, aucun scan code n’est |
> redéfini. Quand dans la suite il est question de virtual keys il
> s’agit des dispositions.
> 
>> Si j’ai bien compris ce que tu dis, tu ne sembles pas comprendre à
>> quel niveau la dissociation entre touches virtuelles et caractères
>> se fait, en tout cas pour les cas que je connais (GNU/Linux et
>> Windows).
> 
> D’après ce que j’en sais la dissociation est dans le tableau
> d’allocations, static ALLOC_SECTION_LDATA VK_TO_WCHARS14 aVkToWch14[]
> = { pour prendre l’exemple ouvert dans mon éditeur de texte. Pour
> l’azerty on aurait pour la touche D01 : {'A' /*T10 D01*/ ,0x01 ,'a'
> ,'A' Pour le bépo avec VK en azerty on aura : {'A' /*T10 D01*/ ,0x01
> ,'b' ,'B'
> 
> 
>> 
>> Dans certains jeux les contrôles se font comme en qwerty alors que
>> je suis en bépo (me permettant de jouer correctement sans
>> reconfigurer les trois quarts des touches et de taper en bépo dans
>> le chat du jeu), et dans d’autres non. Sous Windows, souvent les
>> jeux prennent en compte le code clavier alors que les raccourcis
>> clavier du système dépendent de la disposition, etc.
>> 
>> Voir ici pour comprendre comment c’est géré, par exemple, au niveau
>> de la SDL: 
>> ‹https://stackoverflow.com/questions/31941446/what-is-the-difference-between-an-sdl-physical-key-code-and-an-sdl-virtual-key-c›;.
>
>> 
> En rapport à sa longueur ce thread est à peu près celui qui m'apporte
> le moins de tous ceux que j’ai vus sur Stackoverflow :
> 
> « > Which one to use is left to the application: scancodes are suited
> in situations « > where controls are layout-dependent (eg. the "WASD"
> keys as left-handed arrow keys), « > whereas keycodes are better
> suited to situations where controls are « > character-dependent (eg.
> the "I" key for Inventory). « « In the above quote, by layout the
> manual means the mechanical/physical layout. So « for controlling the
> character, for instance, using the scancode is better, while for «
> receiving the user's name keycode is better.
> 
> Ou alors c’est le commentateur qui embrouille tout.
> 
> Deux variantes du bépo sur trois en tout cas ajoutent une couche de
> dissociation supplémentaire en étant des disposition latines qui ne
> font pas correspondre keycodes et caractères :
> 
> 1 scancode : lu sur le clavier physique par une routine qui scanne
> les interrupteurs ; 2 keycode (virtual key) : défini dans les headers
> par “#define [scancode] [VK]” ; 3 caractère : défini dans la table
> d’allocation, dépend aussi du niveau.

OK donc visiblement j’ai oublié des données dans l’affaire. Si je
comprends bien, sous Windows et Mac OS X, c’est ce qui permet d’avoir
des dispositions avec des raccourcis claviers différents (chose qui
n’est pas possible sous GNU/Linux), j’ai bon?


> Le problème avec les raccourcis clavier utilisant les keycodes est
> qu’eux aussi obéissent à une certaine ergonomie. Par exemple pour les
> droitiers qui utilisent la souris à droite et pas de pédales, les
> raccourcis pour copier et coller doivent pouvoir se faire de la main
> gauche. Là non plus on ne va pas reparamétrer les raccourcis dans
> toutes les applications, il faut que les keycodes C et V soient 
> proches de Contrôle gauche. Donc on prend le bépo azerty ou le bépo
> qwerty.
> 
> Quelque part ça ne rentrait pas dans ma tête mais c’est bon, ça y
> est, merci.

Ce qui est dommage c’est que soit on perd le côté mnémotechnique des
raccourcis claviers, soit on perd l’ergonomie pour certaines
combinaisons faisables à une main lorsqu’on utilise une souris…


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