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 Le 29/11/14 22:13, sinma a écrit :
 
      
      +1Le 29/11/2014 13:29, Jean-François
        Bigot a écrit :
 
        
        
        Bonjour 
 Vous trouverez ci-dessous la première version du CR de la
          réunion qui s’est tenue à l’AFNOR le 27 novembre. En fonction
          des questions qui ne vont pas manquer d’être posées, on pourra
          préciser certains points. Il serait souhaitable d’avoir un
          retour de M. Magnabosco avant de placer ce CR sur la page
          « normalisation » du wiki (pas toujours facile d’être fidèle,
          surtout quand le sujet est très technique).  
 Par rapport à cette première étape, il va falloir que
          l’association se positionne par rapport à la suite du projet.
          Le bépo a de nombreux atouts reconnus, mais il faudra
          nécessairement composer avec le poids de l’histoire. Jusqu’à
          quel point peut-on/veut-on influer la norme (caractères sur la
          ligne des chiffres, comportement global), quelle «aide»
          souhaite-t-on apporter (algorithmes, corpus, tests) et quelle
          place peut avoir le bépo dans la norme ? 
 Cordialement 
 Jeff et LeBret Super travail, merci beaucoup :)
 
 
 
  Il faudrait qu’Ergodis veille à éviter que la norme impose une forme
    aux claviers. Puisque le Ministère de la culture semble suivre
    l’affaire (cf § Contexte ci-dessous), il faudrait prendre en
    considération le risque que ledit ministère rende cette norme
    obligatoire.
 Réunion le 27/11 à l’Afnor 14h30-18h30
 Intervenants
 
 M. Magnabosco avait contacté une trentaine d’intervenants
        potentiels.
 Au final étaient présents :
 - 3 représentants de la délégation générale à la langue
        française et aux langues de France dont le chef de la mission
        des langues et du numérique et un linguiste
 - l’nstitut national des langues et civilisations
        orientales (INALCO) ;
 -
        le dernier correcteur de l’imprimerie nationale ;
 - deux représentants d'Ergodis.
 
 Se sont désistés au dernier moment Cherry France (dommage !) et
        un revendeur danois du typematrix.
 
 
 
 
      Le Ministère français de la culture et l’AFNor s’adressent-ils à la
    France (68 630 267 habitants), aux Français (j’ignore leur nombre —
    Combien de résidents étrangers en France ? Combien de Français
    expatriés ?), aux Francophones (274 millions de personnes) ou à la
    Francophonie (809 836 943 habitants en faisant la somme des
    populations de tous les pays membres de la Francophonie) ? D’autres sont peut-être intéressés pour la suite si des marchés
        s’ouvrent : MS, logitech.
 
 L’éducation nationale n’est pas associée, la saisie sur clavier
        ne fait pas partie de ses objectifs. L’académie française
        s’intéresse au français (dictionnaire) mais pas à la façon de le
        saisir.
 
 
 
 Contexte
 
 Le ministère de la culture souhaite donner aux francophones
 
 
 
      ¡Bien sûr!̦ c`est évident . </humour> la possibilité d’avoir des outils de saisie
        permettant d'écrire correctement le français. Cette norme doit
        également pouvoir prendre en compte les langues régionales ainsi
        que les différentes langues européennes.
 L’objectif de cette réunion était de lancer une dynamique pour
        mettre en place une démarche normative dont le contour reste à
        définir.
 
 En amont de la réunion M. Magnabosco a fait des recherches sur
        les prescriptions existantes dans le domaine de la langue
        française. Au final :
 - il n’y a pas de censeur (de juge de la langue) ;
 - pas de règles impératives concernant la typographie
        (il n’y a plus d’autorité derrière le fascicule de l’imprimerie
        nationale !) ;
 - un seul texte légal sur la liste des caractères
        autorisé dans les noms de personnes et de lieux (ministère de la
        justice) ;
 - aucune autorité concernant la dactylographie.
 
 Le représentant de l’imprimerie nationale confirme que les
        règles typographiques sont fonction de l’imprimeur et des
        caractères qu’il a sa disposition. Par ailleurs, pour les
        couvertures, l’aspect esthétique est plus important que le
        strict respect des règles.
 
 Oh, donc j’ai le droit de faire ce que je veux niveau
      typographique? :D
 
 
 
  Si l’on couvrait les langues sames, on couvrirait aussi le rromani :
    la seule lettre qui manque au bépo pour la prise en charge du romani
    semble être le ʒ.
 Exemples d'expériences
 
          À titre d’exemple, M. Magnabosco a indiqué que l’orthographe
            est maintenant reconnu comme une compétence professionnelle
            à l’AFNOR, mais que le clavier azerty actuel ne permettait
            pas d’atteindre cette objectif.
 
 Jeff a fait part de son expérience professionnelle :
 
 
          
            - dans beaucoup de branches d’activité, augmentation du
              temps passé sur ordinateur or pas de formation à l’usage
              du clavier ; 
            - pas de prise en compte en entreprise de l’ergonomie
              du poste de travail bureautique => perte d’efficacité
              dramatique, TMS... 
            - très difficile d’adopter de bonne pratiques avec
              l’azerty ; 
            - efficacité constatée au quotidien du bépo pour
              l’apprentissage et à l'utilisation. 
          => intérêt d’une démarche normative qui permettra de
            faire exister les questions d’ergonomie (cette norme
            pourrait alors servir d'appui pour une démarche en CHSCT).
 LeBret a fait une présentation bépo s’appuyant sur le
            support joint ainsi que sur les plaquettes ergodis. Nous
            avons ressenti un fort intérêt des participants, en
            particulier concernant la démarche de conception et la
            couverture des différentes langues. Alors que le temps de
            parole initial était de 15 minutes, la présentation et les
            questions ont finalement duré près de 40 minutes. Il y a eu
            quelques échanges pointus entre LeBret et le représentant de
            l'INALCO sur les caractères particuliers à certaines
            langues. Le représentant de l’INALCO a remarqué quelques
            manques, certains nous étaient connus (langues sames)
            d’autres pas (la langue rromani : en plus c’est sa
            spécialité).
 
 
 
      EuroUniv, ça me rappelle ce site http://www.s314953002.onlinehome.fr/glossoconsulting/FR/accueil.htm
        
          Le fait que le bépo soit conforme avec les objectifs
            prioritaires de la délégation a bien été noté. La question du nombre d’utilisateurs a été soulevée. Nous
            n’avons pas pu donner de chiffre précis mis à part le nombre
            de comptes sur le site, tout en notant que ce chiffe est
            probablement bien en dessous du nombre réel d’utilisateurs.
 Super, tout ce qu’il fallait dire! :)
 
 
 
        
          L’INALCO a présenté une disposition issue du travail de
            professionnels, s’appuyant sur l’azerty, et permettant de
            couvrir l’ensemble des langues européennes (EuroLati /
            EuroUniv). Quand je leur ai écrit il y a quelques temps, je n’ai pas pu obtenir
    d’informations précises sur le fonctionnement du clavier.
 Si je me souviens bien, ils voulaient vendre des licences à des
    constructeurs de claviers ou un truc du genre.
 Ils sont en cessation d’activité depuis plus d’un an.
 Ce layout serait-il en usage quelque part ?
 
 
 
      D’un point de vue Windows, est ergonomique tout layout qui n’impose
    pas de taper Alt + 0 1 9 9 pour saisir un Ç. ☺
        
           Il s’agirait d’une disposition ergonomique, intuitive et
            facile à mémoriser. Cependant, la licence étant
            propriétaire, peu de détails ont été donnés et il est
            difficile de se faire une idée de ce clavier. Il a toutefois
            un peu plus de caractères latins que Bépo, mais à priori pas
            de caractères grecs, et moins de caractères scientifiques.
 S’appuyant sur l’azerty et ergonomique à la fois?!
 
 
 
  Il ne serait pas le premier à faire la confusion Marsan / Bépo. Cf «
    Le nom des gens ».
 
        
          Le représentant de l’INALCO se souvenait que les
            premières versions du bépo nécessitaient un clavier spécial
            et était satisfait de voir que ça avait évolué. Notre
            démenti sur l’origine du bépo n’ont pas permis d’entamé sa
            conviction, il est toutefois clair pour lui que ce n’est de
            toute façon pas le cas actuellement. 
 Il pensait peut-être au clavier Marsan?
 
 
 
  Ça interdit de mettre des lettres en Alt Gr, ou alors la majuscule
    et la minuscule de certaines lettres seraient sur des touches
    distinctes, genre œ en Alt Gr + o et Œ en Alt Gr + p.
 
        
          Les normes préexistantes
 Il est préférable qu'un travail normatif s'appuie sur des
            normes préexistantes. M. Magnabosco en a présenté rapidement
            3.
 
 1) L'ISO/IEC 9995 de 1994 révisé en 2009 (parties 1 à 8) et
            partie 10 publiée en 2013. Cette norme identifie en
            particulier les différentes zones du clavier
            (alphanumérique, fonctions, numérique) et un mode
            d'identification du positionnement des différentes touches
            physiques.
 
 2) La recommandation européenne CWA16108 s’appuie sur une
            base réglementaire et légale claire (différents traités
            européens). Elle est du même rédacteur que l'ISO/IEC
            9995. Elle définit des notions de niveau et de groupe pour
            définir le comportement des touches avec les différentes
            modificatrices.
 
 On accède à un niveau différent grâce à un modificateur
            (Maj et Alt-Gr). Les modificateurs ne se combinent pas ; le
            but est de garantir que tout caractère est accessible soit
            directement, soit par l’appui de 2 touches simultanées. Mais qui a pondu cette norme de merde ‽ Les recommandations
    européennes sont-elles obligatoires ? Une recommandation qui
    empêcherait d’enrichir son clavier et qui rendrait illégaux la
    plupart des layouts existants…
 
 
 
      Pas plus que l’usage d’une touche morte.
        
           (Ce qui revient à admettre que les utilisateurs tapent à
            2 doigts !). Le Algr-Maj utilisé par le bépo n’est pas pris
            en compte par cette norme.Les recommandations européennes sont-elles
 Toutefois la norme définit aussi la notion de groupe (comme
            sur le clavier canadien ou le clavier allemand normalisé)
            qui permet d’aller au delà des 3 caractères par groupe. À
            confirmer avec une lecture attentive de la norme mais ça
            fonctionnerait comme un modificateur pour lequel la frappe
            des touches est successive au lieu d’être simultané. Nous
            avons mentionné que cette solution ralentissait la vitesse
            de frappe.
 La touche de changement de groupe ne pourrait-elle pas être placée
    sur l’une des touches qui servent généralement à saisir des
    caractères ?
 Si l’on part sur de l’azerty, je verrais bien une touche de
    changement de groupe en <BKSL> (la touche ç du bépo, où se
    trouve le µ en azerty) ou, mieux, sur <AB10> (touche f du
    bépo, où se trouvent ! § en azerty français et = + ~ en azerty
    belge).
 
 
 
      Sans oublier que j’en fais une touche compose avec certains
    claviers…
        
           De plus sur le clavier canadien la touche Controle de
            droite a été transformé en touche d’accès à ce
            second groupe. Là encore nous avons signalé que cela nuisait
            à l’ergonomie du clavier.
 
 
 
      Je ne sais pas ce que DIN a prescrit, mais voici comment ça
    fonctionne sous Linux. Je l’ai essayé en tapant la commande «
    setxkbmap de T3 ».
        
           3) La norme allemande DIN 2137-1&2 de 2012 est définit
            principalement pour l'allemand (QWERTZ) mais «couvre toutes
            les langues d’Europe». C'est une norme très contraignante
            qui fixe précisément la position de l'ensemble des
            caractères utiles au moyen de niveaux et de groupes.
            Contrairement au clavier canadien, le clavier allemand n’a
            semble-t-il pas sacrifié de touche (en tout cas pas la
            touche de contrôle droit) sans que nous parvenions à
            comprendre comment on accède à ce fameux 2ème groupe.
 
 Prenons l’exemple de la touche E. Elle porte six caractères :
 — niveau 1 : e ;
 — niveau 2 : E ;
 — niveau 3 : € ;
 — niveau 5 : œ ;
 — niveau 6 : Œ ;
 — niveau 7 : dead_breve.
 Les niveaux 4 et 8 ne sont pas utilisés, conformément à cette ☔☢☠🌩☣
    d’ISO/IEC 9995.
 
 Dans les combinaisons de touches ci-dessous :
 — AB signifie qu’on tape A, puis B, dans cet ordre, sans avoir
    relâché A ;
 — A B signifie qu’on tape A, qu’on relâche A, puis qu’on tape B ;
 — S représente la touche Shift, A, la touche Alt Gr et E, la touche
    E.
 
 ① e : E (accès direct)
 ② E : SE
 ③ € : AE ou A E
 ⑤ œ : SA E ou AS E
 ⑥ Œ : SA SE ou AS SE ou SAE
 ⑦ brève : A SE ou ASE ou A A E ou A AE
 
 J’imagine que le Neo est incompatible avec cette norme.
 
 
 
      Quelle tristesse de devoir subir les erreurs des normes antérieures
    !
        
       Ne pas pouvoir exploiter AltGr+maj serait vraiment dommage en
      effet.
 
 
 
  Reste à espérer que le Ministère de la culture ne l’impose pas.
 
        
          Démarches possibles
 Ces références et exemples posés, la démarche de
            normalisation a été présentée.
 
 Il existe plusieurs types de documents diffusés par l’AFNOR,
            par ordre d'importance :
 1) au plus haut niveau, la norme française (NF),
            diffusée après enquête publique (mais reste d’application
            volontaire) ;
 2) la norme expérimentale, à vocation à passer NF
            après environ 1 an de retour d’expérience ;
 3) les fascicules, documentations, référentiels de
            bonnes pratique et accords.
 
 La délégation a clairement indiqué que son objectif est
            l'adoption d'une norme.
 
 La norme est un outil permettant de rassembler les
            différents intérêts concernant une question, et en
            particulier l’intérêt économique. Il faut trouver un optimum
            entre les possibilités techniques et les ouvertures sur le
            marché.
 Il s’agit plus d’une incitation que d’une contrainte.
            L’application d’une norme n’est pas obligatoire, sauf si
            elle est imposée (par la loi par exemple, ou un marché).
 
 
 
 
      Donc, une recommandation peut être à la fois dans une norme et hors
    de la norme ?
        
           Dans une norme, il y a une partie normative (mots clés : il
            faut, convient…), des parties informatives (exemples, notes)
            et ce qui est hors de la norme.
 
 
 
 
      Si l’intitulé de la norme précise bien le public cible, du genre «
    clavier français » et « clavier bépo pour une frappe confortable et
    le soulagement des TMS », les deux ne peuvent pas coexister ?
        
           En france, contrairement à d'autres pays, deux normes ne
            peuvent pas se contredire. Ainsi, si une norme définit la
            disposition "AZERTY", il ne sera pas possible de définir une
            norme pour le "bépo".
 
 
 L’azerty et le bépo sont deux entités presque sans aucun lien.
    Définir l’un, ce n’est pas contredire l’autre.
 
 
 
      Si l’on ne peut pas normaliser à la fois l’azerty et le bépo,
    j’espère qu’on n’ira pas plus loin que l’accessibilité et qu’on ne
    sera pas trop précis dans les critères d’accessibilité.
        
           La question centrale d'une norme est la notion de conformité
            et la définition de critères de conformité. L’objectif est
            de pouvoir dire si un produit est conforme ou
            pas (évaluation tierce possible).
 Pour la conformité on peut viser trois niveaux
 
 
          
            - la disponibilité : une liste de signes est donnée.
              Tout clavier qui peut fournir cette liste est conforme ; 
            - l’accessibilité : e doit être plus facile à taper que
              Þ ; 
            - l’unicité : la disposition est fixé, le Z est à
              droite du A. Ou dit plus techniquement, le niveau « Maj »
              du groupe 1 de la touche D01 produit le caractère « Q
              ». C’est la solution de la norme allemande. Pour mémoire,
              une loi européenne indique déjà que le € qui doit être sur
              la même touche que « e ». 
 
 
      Qu’entend-on par « identifier » ?
        
            
          D'autres pistes peuvent être explorées comme l'ergonomie,
            les signes et couleur des gravures, la marge d’innovation
            (l’unicité ne laisse pas beaucoup de possibilités).
 
 Le bépo n'aura aucune difficulté pour la conformité avec la
            partie disponibilité, on doit également pouvoir s’entendre
            sur l’accessibilité. Par contre le problème viendrait
            de l’unicité. La préexistence de l’azerty et la difficulté
            de tout révolutionner posera des difficultés.
 
 L’objectif du ministère est clairement de s’orienter vers
            une norme garantissant l’unicité de l’expérience. Au
            détriment, ils en sont bien conscient, de l'innovation ou
            des claviers sur écrans.
 
 M. Magnabosco indique que la norme pourrait identifier des
            dispositions alternatives de type Dvorak, bépo par exemple,
            qui ne seraient conformes qu’aux aspects « disponibilité »
            et « accessibilité ». C'est un espace de liberté qui peut
            nous être donné.
 Je trouve que cette norme qui imposerait l’unicité des claviers
    n’est pas une bonne chose pour le bépo. Bien au contraire, certaines
    personnes pourraient faire remarquer, à raison, que le bépo ne
    serait pas conforme à la norme en vigueur. Ça n’aidera pas à avoir
    le bépo disponible par défaut sur les OS propriétaires.
 
 
 
      
        
          
 De plus, un chapitrage adapté de la norme pourrait
            également faciliter ce type d'initiative.  En effet, une norme peut être découpé en plusieurs
            parties. L’Allemagne a fait le choix d’avoir 3 parties : DIN
            2137-T1, DIN 2137-T2 et DIN 2137-T3. Chaque partie ajoute de
            nouveaux caractères, en fixe son niveau, son groupe et sa
            position sur le clavier. La France pourrait faire un découpage différent (attention,
            ici tout est au conditionnel). Par exemple une NF XXXX-1
            pourrait préciser la liste de tous les
            caractères indispensables, une NF XXXX-2 pourrait indiquer
            les caractères souhaitables et enfin une NF XXXX-3 fixerait
            précisément la position de chaque caractère sur le clavier.
 
 Si j’ai bien compris, le but de l’AFNOR c’est de faire une norme
      de règles à respecter pour la disposition de clavier, qui peut
      être très souple (décrire des caractéristiques) ou très
      restrictive (décrire complètement la disposition)? En tout cas,
      tout ça a l’air très intéressant.
 
 
 La suite
 
          Afin que le travail commence, il est nécessaire qu'une
            commission de normalisation fixe les participants du groupe
            de travail. Elle doit se réunir le 8 décembre.
 
 Une fois l'objectif fixé par la délégation il s'agira de
            définir le plan de la norme, par chapitres ou d’un seul
            bloc.
 
 Les différents intervenants présents se sont montrés
            intéressés pour participer à la rédaction de la norme. Il ne
            faut pas hésiter à proposer à d'autres entreprise de
            se joindre au projet. Il faut juste savoir que la
            participation est gratuite pour les associations mais
            payante pour les entreprises. C’est le ministère de la
            culture qui a payé le ticket d’entrée.
 
 Quand le projet sera rédigé (le document du ministère sur
            les caractères devant être accessibles sera une entrée de
            référence), il y aura une enquête publique.
            L’AFNOR recherche des relais de communication, le site Bépo
            pourrait ainsi participer. (d'autres propositions ?)
 
 Le délais moyen avant publication d’un tel document est de
            18 mois.
 
 
 
 
          
            Hors réunion : liste des
                entreprises/organismes que l’on pourrait associer : Hé bien j’imagine qu’on peut en parler sur d’autres sites où se
      trouvent des bépoètes: forum Ubuntu-fr, Arch Linux fr, Arch Linux,
      linuxfr.org (pour ceux que je connais, mais j’imagine qu’il y a
      aussi les forums d’autres distributions, et je ne sais pas s’il y
      a d’autres communautés à part celles des distributions GNU/Linux
      où l’on trouve une quantité non-nulle de bépoètes).
 
 -- 
mon site web: hack-libre.org 
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