Re: [EGD-discu] [AFNOR] compte rendu de la réunion du 30 mars

Le 4 avril 2018 à 07:18, Marcel <bkn.ema@xxxxxxxxx> a écrit :

Bonjour,

on ne peut toujours pas accéder aux commentaires, en effet.

Je viens de vous ajouter individuellement (= ceux qui ont demandé) pour pouvoir éditer le pad. J’avais essayer d’utiliser une liste mais ça n’a pas marché

> Il y a 92 commentaires sur le bépo
Si on fait le recoupement avec les 492 commentaires publics sur le bépo réunis sur
http://dispoclavier.com/afnor/enq2017/comm/public/b%C3%A9po/index.html
reste‐t‐il sur le bépo des commentaires privés, c’est‐à‐dire postés non dans l’outil à
côté mais sur la page où l’on pouvait envoyer *une* pièce jointe, en plus du
commentaire de Laurent ?

Dans le pad, les pièces jointes sont indiquées par la mention « Pièces jointes » mais je n’ai pas encore trouvé le moyen de les inclure dedans.

> pour lesquels il faut fournir une réponse.
Cette logique m’a toujours surpris, puisque la « réponse » aux commentaires les
plus importants techniquement n’est pas à « fournir » verbalement, mais à
implémenter dans la norme. La plupart des commentaires n’étaient pas des
demandes de renseignement. C’étaient des demandes d’amélioration. La réponse
consiste à modifier le projet de norme et à en référer au public.

Un commentaire n’est qu’un commentaire, sinon on appellerait ça une injonction.

Déjà certains commentaires sont totalement contradictoires entre eux.
Et on a tout à fait le droit de les rejeter, simplement il faut expliquer le refus.

> Les commentaires sont disponibles ci-dessous. J’ai commencé à les catégoriser pour y répondre.
> Si certains se sentent de participer, qu’ils n’hésitent pas.
Si c’est ce qui est voulu, on veut bien être invités. L’Afnor va finir par avoir des commentaires de commentaires. C’est
une sorte de prolongement de l’enquête publique ?

Pas du tout, il s’agit juste de fournir une réponse (une réponse écrite) et éventuellement de modifier la norme si il y a lieu.

ils auraient pu laisser l’enquête ouverte pendant trois mois au lieu d’un, pour qu’au moins on ait le temps de répondre.
Dès le 9 juillet, M. Magnabosco s’est dépêché de fermer le rideau, alors que je lui avais écrit que je n’avais pas fini.
D’ailleurs les commentaires continuaient d’affluer, un peu moins fort qu’au début parce que toute communication
avait cessé, après un lancement plutôt confidentiel…
Alors où est la bonne volonté ?

Les enquêtes publiques sont normalement beaucoup plus courtes. En générale une semaine.

LeBret