Cela dit ― les parenthèses sont indispensables aussi en français
        pour les terminaisons conditionnelles, auquel cas elles ne
        renferment qu’une ou deux lettres. Si c’est un ‘e’, il est clair
        que le placement des parenthèses sur le bépo est sous-optimal.
    Il faut se mettre à la page, ce n’est plus à la mode, le (e) du
    féminin entre parenthèses. Apparemment, ça fâche autant les
    féministes que le français normal (c’est-à-dire où le neutre est
    confondu avec le masculin), et les terminaisons conditionnelles
    « modernes » se font avec des traits d’union, dans le style ‑e ou
    ‑e‑s (et là, il faut le trait d’union insécable ‑ pour éviter des
    passages à la ligne calamiteux).
Quid du point median ? :)