Puis j'ai été choqué de lire que la disposition AZERTY ne serait « utilisée qu’en France », car le clavier belge est AZERTY lui aussi. A-t-on demandé à la Belgique si elle souhaite coopérer aussi sur ce chantier ? (En plus de la lutte contre le terrorisme.)
Puis le symbole de l'euro est cité comme un exemple, avec l'arobase, des symboles baladeurs, alors que sa place est fixée sur le E en niveau 3 par une loi de l'Union Européenne. Du rapport il ressort donc que cette loi n'est pas toujours appliquée.. Est-ce exact ?
Au troisième alinéa du chapitre, il est question de caractères « exotiques mais néanmoins présents dans la langue française ». Cela semble être une simple façon de parler car aucun caractère exotique n'apparaît dans la suite, en plus d'être stricto sensu un oxymore puisqu'un caractère exotique est par définition absent de la langue française.
Puis dans les trois exemple du type « ETUDE DU MODELE ou ÉTUDE DU MODELÉ ? », il manque la première possibilité (ÉTUDE DU MODÈLE). Preuve peut-être à quel point la non-accentuation ne choque plus. On ne peut que se féliciter de l'effort pédagogique consenti par la DGLFLF.
Je suis confiant que le projet en cours reçoit le soutien plein et entier de toutes les instances décisionnelles, et que son fruit sera reçu les bras ouverts comme une réelle amélioration des choses.
Que ces quelques lignes ci-dessus soient prises non comme _expression_ d'une quelconque envie de critiquer pour critiquer, mais comme un signe de l'intérêt porté au projet de normalisation d'un clavier d'ordinateur performant qui soit vraiment à la hauteur de l'attention que la France porte à ses enfants et à tous les humains quelle que soit leur origine et quels que soient les caractères qui composent leur nom, et qui soit digne du rôle de la France en Europe et dans le monde.
« Avec espoir et détermination, »
Marcel – et j'aimerais associer à cet appel toute l'association ERGODIS