Pour une fois, je voudrais bien répondre point par point, en mettant mes réponses en-dessous du texte auquel je réponds. Mais mon webmail ne me permets pas de faire ça de façon correcte. Donc je réponds en bloc au-dessus.
Afin de bien situer la conversation, je rappelle qu'il s'agit de déterminer si les touches mortes « exposant » et « indice » doivent être très accessibles ou seulement présentes sur le clavier dans le cas d'un usage exceptionnel.
Si on écrit un texte en html, en latex ou avec un traitement de texte, on n'a pas vraiment besoin d'utiliser les caractères en exposant, puisqu'on a un outil qui le fait de façon plus efficace.
Nicolas, tu indiques que dans ton « utilisation régulière du clavier », tu as souvent besoin de saisir des caractères en exposant ou indices. Et tu ajoutes que les traitements de texte & cie ne couvrent pas tous les cas d'usage, loin de là. Alors quels sont donc ces nombreux cas d'usage pour lesquels tu penses que les utilisateurs auront besoin de mettre beaucoup de caractères en exposant ou en indice ?
Thomas
Envoyé: vendredi 2 décembre 2016 à 16:24
De: "Nicolas Chartier" <chartier.n@xxxxxxx>
À: discussions@xxxxxxxxxxx
Objet: Re: [EGD-discu] Au sujet du vote entre les indices et exposants
Absolument pas, le mail peut être rédigé en html et permet donc l’usage de formatage.
De plus, l’échange de quelques mails ici et là n’est absolument pas représentatif de la quantité de texte que l’on peut être amené à saisir dans une même journée.
Et surtout, cela dépend du sujet de la discussion.
[…]
Dans cet échange de mail, peu.
Dans mon utilisation régulière du clavier, plusieurs fois par jour.
Ça dépend du document. N’en déplaise à certains, l’usage de LaTeX est complètement marginal. L’utilisation de logiciels de suite bureautique est bien plus important, mais ne couvre pas tous les cas d’usage, loin de là.
[…]
Pour les autres cas, il reste 3 solutions :
- écrire l’exposant ou l’indice sans formatage, ce qui peut-être une erreur ;
- écrire la balise, ce qui est lourd aussi bien à l’écriture qu’à la lecture ;
- utiliser des caractères qui ne sont initialement pas fait pour ça, tout comme ce que l’on nomme apostrophe typographique, qui n’a jamais été une apostrophe.