Dans les normes BNQ (Bureau de Normalisation du Québec) il est permis d'insérer des notes «informatives» en complément des écrits normatifs. (Je pourrais probablement fournir des exemples si nécessaire.) Ne serait-il pas possible de demander la permission à l'AFNOR de mettre une toute petite note quelque part indiquant quelque chose comme: « Dans le cas des clavier hors norme (ex: claviers 104 touches) ou de certains claviers spéciaux (ex: claviers orthogonaux), il est recommandé d'enlever la touche «−» et de décaler les touches « àyx.» d'une case vers la droite , ceci dans le but de ne pas perdre l'accès à la touche «à» de même qu'à tous les autres caractères liés à cette touche. »
(Désolé pour l'éventuelle identification incorrecte des touches entre guillemets... je ne connais pas précisément qu'elles sont les touches impliquées dans la disposition en A.)
Denis S
Le jeudi 17 novembre 2016 18h30, Olivier Guéry <nemolivier@xxxxxxxxx> a écrit :
Le 17/11/2016 à 23:44, Jérôme Schwartz a écrit :
Quand à la majorité contre la méthode en A, elle
s’est créé sur le fait de ne pas touche à la carte de base, mais
qui pour l’apostrophe a été mis de coté (voir la position de la
proposition D), ce qui me fait penser que l’idée peut encore
faire du chemin.
Je ne suis pas innocent sur la conservation de la carte de base qui
a écarté la frappe en A, et pourtant j'ai bien voté l'inversion des
apostrophes. La différences entre les deux est que d'un coté on
décales tout un ensemble de touches avec la création (ou non) d'une
nouvelle, alors que de l'autre on ne fait qu'intervertir 2
caractères similaire.
Pour cette normalisation, il me paraissait ne pas y avoir assez de
temps pour faire autant de modifs pour la frappe en A, surtout quand
on voie les discutions enflammées pour l'inversion de 2 apostrophes.
Disons que ce type d'arguments « conservateurs » concernant la dispo d'un clavier est plein d'une ironie tragique pour nous qui savons ce que ce conservatisme à fait à la dispo QWERTY quand on a voulu la changer.
NémOlivier.
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