Re: [EGD-discu] Ce qu'attend de vous le Président Emmanuel Macron

Marcel, roi de la négo (et par ailleurs, accusations sans preuves, non ? Que je sache, personne n'obligeait l'AFNOR à contacter un groupe de geek ayant fait sa dispo dans son coin, ni d'établir une norme incluant ladite dispo. Pas efficace, les lobbies anti-émeute).

Le mer. 19 juil. 2017 à 14:15, Marcel <bkn.ema@xxxxxxxxx> a écrit :

[N.. B. : Ce mail a été envoyé hors liste le 19 juillet 2017 à 5:57:17]

Monsieur,

par précaution – même si a priori cela ne devrait pas être nécessaire – je me permets de vous faire remarquer que votre travail (bien qu’il s’effectue dans le cadre d’une structure privée au service de ses membres, les acteurs du marché) est soumis, au moins en ce qui concerne le Clavier français, aux mêmes exigences que celui des parlementaires : « Le chef de l'Etat, qui a insisté sur le mot d'"exigence", les a encore appelés à garder comme "boussole" ce "qu'attendent les gens" et "ce qui est bon pour le pays". » (http://actu.orange.fr/france/macron-serre-les-rangs-apres-de-premiers-remous-dans-sa-majorite-CNT000000L1ibs.html)

Pourquoi est-ce utile à préciser ? Parce que jusqu’à présent, vous n’avez manifestement pas su gérer le groupe de travail du Clavier français de manière à ce qu’il concilie un maximum d’attentes d’utilisateurs, ni à ce qu’il vise à rétablir et conforter la bonne réputation de la France. Je trouve que la mesure dans laquelle vous apportez votre expertise est très insuffisante, et vous semblez être davantage à l’écoute de vos éventuels mauvais conseillers et lobbyistes présumés de chez Adobe et Microsoft, ainsi que de votre directeur financier Afnor (qui vous demande visiblement de minimiser les frais de production), que des conseils que vous envoient ceux qui ont le souci de l’honneur de la France et des Français.

J’aimerais que vous me confirmiez cette fois la bonne réception de ce message, que je veux bref, en vous invitant à me poser des questions au cas où vous n’auriez pas compris quelque chose.

Dans cette attente,

Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’_expression_ de ma considération distinguée.

Marcel Schneider