Je n'ai pas encore testé cette fonction. Ta proposition est
intéressante et peut convenir à certains auteurs qui adoptent une
technique aussi rigoureuse que structurée. L'ajout récent de la
variable "Intensité" représente déjà un pas important qui permet
de visualiser les moments "forts"sans intégrer le volume
d'écriture.
Ce peut être par ailleurs un défi intéressant pour les
développeurs 😉 (vu les compétences, cela ne devrait pas être
impossible !)
Bonne après-midi.
Bonsoir,
Est-ce que vous avez testé la fonctionnalité d'objectif par
parties dans Ostorybook ?
J'imagine les objectifs, en volume d'écriture, des différentes
parties avec un pourcentage de la taille totale du livre. Par
exemple Partie 1 : 25 % ; Partie 2 : 50 % Partie 3 : 25 % ou
différemment 5 parties Partie 1 : 20 % Partie 2 : 20 %, etc.
Certaines techniques d'écriture utilisent les parties comme des
sous-unités indépendantes, mais autonomes. Avec un point
culminant, un moment charnière. Certains écrivains utilisent ces
méthodes très structurées. Toujours en restant en mode
brainstorming sur la même thématique, j'ai pensé à des alertes à
l'intérieur même d'une sous-partie. Au cours de l'écriture, on
pourrait régler un pourcentage, et lors de la frappe du texte,
on pourrait ouvrir une fenêtre pour visualiser combien de texte
nous devons écrire avant un moment charnière identifié par un
titre. Peut-être une fenêtre avec différents points de repère en
quantité et une valeur dégressive pour nous dire combien de
texte il faut écrire jusqu'à un moment charnière ou avant chaque
moment charnière. Ces moments charnières pourraient être
associés à des fils narratifs différents. Cela permettrait de
gérer des résolutions de fils narratifs selon un rythme
différent.
Il y aurait donc une stratégie avec des ratios. Par exemple : Je
vais écrire un roman court d'environ 25 000 mots, en quatre
parties, la première partie sera plus longue et les trois autres
seront équilibrées. 40/20/20/20. Ma première partie aura deux
moments charnières le premier à 30 % de la partie 1, associé au
fil narratif secondaire et le deuxième à 90 % de la partie 1 que
j'appellerai : "Le refus", associé au fil narratif principal.
Quand j'écris le texte, j'observe mon indicateur d'objectif
global sur la partie et sur le livre entier. Si j'ouvre la
fenêtre de contrôle des moments charnières je sais combien il me
reste à écrire cela me permet de rajouter des intrigues, du
mystère de la tension, etc. tout en sachant que les moments
charnières arriveront bientôt.
Voilà, c'était un exemple d'une stratégie d'écriture qui
pourrait exister.
Thibaud